Drôle d'idée, d'essayer d'assembler une chaîne de caractères ascii et utf-8 dessinant comme un croquis qui paraîsse ressembler suffisamment aux portraits de Freud pour le mettre ainsi ... ;-) en ligne !
Tenter en 2002, d'insérer une représentation de Freud dans le fil du texte de l'étude sur "Le Loup et l'Agneau" !?...
En tant qu'analyste familier des mots, du silence et des borborygmes et des métalangages dans les séances, utiliser des signes et des symboles de ponctuation inventoriés
dans un nouveau code universel qui élargit la diffusion et la compréhension, pour évoquer d'une façon imprévue Freud, c'était tentant...
Il nous a ouvert des espaces nouveaux (avec des possibilités de nous comprendre mieux, et bien plus), alors pourquoi ne pas l'inviter à une autre place dans ce nouvel espace digital (avec les vertigineux pouvoirs
de communication, de mémorisation, de calcul, d'association et plus encore) qu'il n'a pas connu... Ce qu'il en aurait pensé ou dit reste en question, ("Smiley", il l'avait entendu dire ;-) mais pas de cette façon). Un regard probablement intéressé et distant ?... Les questions sur la représentation ont été au centre de ses préoccupations.
Les photos de Freud sont une aide précieuse : il change assez peu de style et d'apparence au cours du temps.
Il y a un regard et une vigilance de Freud sur lui-même, sur son
image et sa variabilité, sensible dans son portrait de 1922 par Halberstadt, comme dans celui de 1926 par Ferdinand Schmutzer qu'il avait
aussi particulièrement remercié et qui se retrouve
aussi dans plusieurs gravures dérivées.
Il avait alors 70 ans.
Et avec son chapeau ? Lors du 6e Congrès de psychanalyse du 8 au 11 septembre 1920 à La Haye, il avait 64 ans.
Envoyé au 49e Congrès de l'I.P.A. à Boston 95 ans plus tard, ce smiley a été affiché, et
partagé par l'Image Task Force de l'IPA)
[ ›˜ ∫;-ι ›‹>·/ ]
[ ⁗ ∫⁏-ι ›‹>·/ ]
... Une simplicité accomplie avec le temps, le jeu de caractères utf-8,
plus étendu, plus universel que le iso-8859-1 du début, et l'impression s'améliore avec une attention visuelle flottante...
| ( `;-ι ›‹>⋅º·~\|
Ni la photo ni le mot, c'est avec de nouveaux moyens une représentation imagée scellée... une interprétation-smiley de psychanalyste qui prête à sourire ?
Le nombre assez réduit des photos de Freud, et leur grande qualité en a fait des représentations reconnues.
L'attention de | ( `;-ι ›‹>⋅º·~\| portée à ses propres images devient évidente, beaux portraits, régulièrement posés, honorables, avec la même barbe, taillée avec soin, souvent sous le même angle, (pas simple, en souffrant d'un cancer de la mâchoire sur une longue durée qui a nécessité de multiples opérations, déformant l'expression et le visage). Jamais un sourire, mais la possibilité d'en faire un smiley s'est trouvée facilitée de cette attention par lui-même, sans garantie d'aboutir pour autant.
Des icônes ? à voir, si le détournement de leur fonction de caractères ou de ponctuations parvient à une composition graphique suffisamment évocatrice et identifiable , ou en un mot, reconnue !
Utiliser et combiner des éléments typographiques dans une représentation graphique caricaturale évoquant un portrait connu, c'est une forme d'illusion d'optique, celle qu'on a appelée «smiley» née sous la contrainte du jeu de caractères ASCII (sigle de l'American Standard Code for Information Interchange) dans les années d'enfance et de jeu de l'informatique personnelle, qui faisait à sourire par le détournement de sens, souvent de la verticale à l'horizontale qu'elle opérait, (désigné désormais comme le style occidental : écrit de gauche à droite, avec une rotation de 90° dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, déplaçant le haut à gauche) et caractérisée comme une forme d'art à une époque révolue: les smiley d'hier sont devenus avec le perfectionnement de l'informatique aujourd'hui, de micro représentations animées très compactes insérées au fil du texte, indication d'une émotion et appelé "emoticon", à partir des contraintes du "caractère interprété" vers des facilités de l'image"bitmap".
Derniers sortis, avec la pointe de nostalgie d'un passé informatique presque révolu ¤, ces gifs dernier cri, si le visage de Freud continue de nous dire encore quelque chose.
Mais à y regarder de plus près (Gardez vos illusions, elles sont précieuses ! Comme illusions, bien entendu...) nous sommes, si vous me suivez, plus proches de l' idéogramme ou même du pictogramme, libéré du son des langues, mais pas de l'interprétation. Et de comprendre sa relation avec le mot où la combinaison séquentielle des lettres (et des sons associés) représente conventionnellement un objet unique ou quelqu'un, et peut-être même de la poésie où des associations de mots évoquent une image particulière.
Entre associations de représentations et représentation d'associations, la psychanalyse est bien à l'œuvre avec un œil dans cet espace, à reconnaître, à raccourcir des circuits et produire des court-circuits sans dommage ni passage à l'acte, avec l'humour et le sourire à décharge.
À dess(e)in ainsi allégé, comme un idéogramme, débarrassé du poids de l'image (par exemple, dans ;-) le point-virgule représente un court arrêt dans la phrase, le tiret, un lien possible, et la parenthèse finale, la fin de cette incise absente résume le clin d'œil incident dans le fil du texte) par cet arrangement d'éléments symboliques de la scansion de langages, le court-circuit de cette illusion toucherait au "mot d'esprit sans mot" comme un rébus – on peut toujours rêver et ... ;-) pourrait encore s'y apercevoir une étincelle du "witz" ?
Il y a une suite plus drôle encore à venir... La voici,
en résumé : plusieurs des signes typographiques seraient des symbolisations d'images graphiques (des pictogrammes, donc) représentant des situations physiques (exclamation, interrogation, réserve, clôture ) où sont généralement ressentis leurs contenus émotionnels.
Ceci serait en faveur d'une origine figurative de la représentation des signes typographiques.
Et les représentations latentes des images de ces signes typographiques sont ici entièrement détournées dans la composition d'une autre image, représentation avec sa part d'illusion optique qui prend son sens en redoublant la vue frontale normale avec une rotation horaire à angle droit. Représentation de représentations, c'est face à une métareprésentation que nous nous retrouvons.
L'arrangement des pictogrammes de ce gif associe à l'image de Freud, de la scansion, de l'interprértation au pari d'une métareprésentation de psychanalyse.
Qui souhaite en lire le détail, pourra suivre la suite du cheminement ci dessous.
Les signes de ponctuation sont généralement considérés comme ayant des origines distinctes des lettres, assez lointaines pour être incertaines, même si elles sont plus tardives que celles de l'écriture.
Ainsi, la forme des chiffres arabes a pu être reliée de façon convaincante au décompte d'un nombre équivalent d'angles sur le tracé d'une ligne continue, c'est-à-dire à une représentation imagée beaucoup plus concrète et proche de l'expérience banale.
Mettre à jour l'interprétation de la graphie et le regard sur ces signes, peut trouver son intérêt dans l'unification par l'effet d'une image, d'effets apparemment disparates dans leur description, qui leur donne un sens et une origine. Et en outre, pour être retenus, ces symboles doivent avoir ou ont une forme graphique pouvant être liée à un contenu stylisé associé plus ou moins consciemment interprétable chez le lecteur.
Par exemple, le point pourrait représenter une pierre, un caillou, pour se repérer et retrouver un sens pour le lecteur, comme points de repère du Petit Poucet, ou ceux qui servaient au dénombrement. C'est l'origine la plus ancienne du calcul (mot qui signifie "pierre") sans connaître les nombres : en appariant un lot de pierres à chaque troupeau à dénombrer, et en appariant ensuite les deux lots de pierres, permettant de savoir lequel est le plus grand ou le plus petit ou s'ils sont égaux.
Le point d'exclamation [ ! ] est un signe avec un point qui marque une admiration, une surprise, une survenue brutale, instantanée, un éclat impératif, un échappement, une irruption et une éruption imprévue d'affects. L'admiration serait liée à la surprise, la survenue impressionnante qui attire le regard : ad mirare. Une des représentations de cette surprise, c'est ce qui tombe là, à côté, qui tombe de haut ou du ciel, la chute brutale au sol d'un objet soumis à la gravité, sans blesser ni écraser, mais qui surprend, attire le regard, impressionne et amène l'expression de sentiments.
Et le point terminal isolé, fixe, enfin immobile au bout d'une trace qui va en s'amincissant, représente matériellement bien cette situation qui attire l'attention, presque par le bruit
qu'elle fait. Cadré entre crochets, ce point paraît l'aboutissement sur le bas de la ligne d'un objet qui viendrait d'y tomber, avec une trace vaporeuse encore
au-dessus, plutôt que celle d'un objet expulsant au-dessus de lui fumée ou vapeur allant se dilatant. Affaire de point de vue, vu de dessus, il pourrait appeler à regarder en face.
Il serait apparu près de Florence vers la fin du XIVe siècle, mais prendra sa forme définitive avec l'imprimerie.
Pour le point d'interrogation [ ? ] , même un peu moins apparente, l'image matérielle peut-être encore très lisible : dans un parcours de recherche, la direction choisie est abandonnée rapidement en se tournant vers une autre, qui ne donne pas de réponse assez satisfaisante pour aller dans ce sens, en conséquence on continue à tourner en se demandant s'il ne serait pas mieux d'infléchir encore le parcours vers un autre sens et de proche en proche, avant de tourner en rond complètement on en vient à se demander dans quelle direction aller, c'est en suspens, en étant assuré d'une chose, le point à partir duquel on se demande vers où aller en attendant une forme de réponse, le point où renvoie la question (un point de réflexion ?). Ici, l'image du parcours se trace sur un plan horizontal vu de dessus, avant d'être redressée dans un plan vertical frontal, face au lecteur tout en lui donnant une vue supérieure plus rassurante, comme s'il était placé au dessus.
La mise entre parenthèses ou entre-deux représenterait comme (des) douves de tonneau pour retenir un contenu autre que celui qui s'écoule dans le sens principal de la phrase. La mise entre crochets cadre et éventuellement isole [mieux] un sujet, et même le coffre.
La relation entre l'étoile qui sert de repère et l'astérisque * se fait aisément.
Les points de suspension se suivent en silence ... (comme les cailloux sur le chemin du Petit Poucet), et la barre oblique / retrace la division dans le fil de la ligne.
Des choses qui seraient si évidentes qu'elles ne se voient plus – mais alors… serait-ce l'enveloppe oblitérée d'un "retour à l'envoyeur" de La Lettre volée ? – comme l'hypothèse d'une origine -inconsciente- du smiley, ( qu'il soit traduit au plus près par mimique, bouille, binette ou frimousse ) qui compose des images significatives à partir de ces éléments de ponctuation ou de typographie pris cette fois uniquement sur un plan graphique : les éléments dont il se compose seraient eux-mêmes des représentations graphiques d'images différentes ! Surprenant retour ou mise en miroir ?
L'indexation d'émotions qui rendent plus lisible le sens du texte, au moyen des conventions non alphabétiques de la ponctuation trouverait une représentation stylisée à l'origine de ses représentations symboliques, comme les smileys.
Et c'est le pavé de l'Ours, qui n'est pas sans résonance typographique, qui a amené ces reconsidérations dont il n'y avait trace explicite jusque là sur Internet.
Sur les essais de création d'une ponctuation répondant au besoin de souligner l’expression d’une émotion ou d’un sentiment dans le texte! Le point d'ironie fournit un excellent exemple de tentatives répétées au cours des siècles sans aboutir de façon convaincante : elles ne sont pas passées dans l'usage courant de la langue écrite.
La première mention en est faite au milieu du XIXe siècle, mais c'est sur sa fin que l'effort le plus poussé de création et de diffusion de ce point d'ironie va être fait par Alcanter de Brahm, qui va y consacrer du temps, de l'application, et des moyens.
Cependant, cette image typographique du point d'ironie ne va pas parvenir à se répandre, presque abandonnée par la suite, bien que la nécessité de son existence paraisse aujourd'hui encore s'imposer à nombre de lecteurs, d'auteurs et de graphistes. L'interrogation des moteurs de recherche suffit pour s'en convaincre, par le nombre et la variété des images graphiques qui s'y rapportent et continue d'augmenter.
Un article du n°60 de La cause freudienne tente en 2005 de trouver les raisons de l’insuccès à se diffuser du "point d'ironie" dans son insistance même à signaler la mise au second degré du sens des mots qui le précèdent, gâchant la légèreté et le double sens du propos que le lecteur aurait plaisir à deviner lui-même. (D'origine déjà, le terme de "point d'ironie" est assez ambigu pour instaurer un double sens dans l'esprit du lecteur.)
Sans remettre en cause la pertinence des mécanismes retenus, l'explication paraît cependant d'un ordre bien différent : quelle que soit la nécessité ressentie par les auteurs et les lecteurs, c'est l'absence de relations entre le graphisme (du point d'ironie) et une expression pictographique facilement reliée, interprétée et mémorisable, évocatrice de l'ironie, qui en serait plutôt la cause.
Le paragraphe Emploi, du "Point d'ironie" de Wikipedia y fait écho : Le problème tient évidemment au fait que contrairement au rire, ou au sourire, l'ironie n'a pas d'expression physique visible apparente, univoque, facile à représenter : elle dissimule, même discrètement cachée, à retardement, une petite ou grande méchanceté, dont le sens pourrait même passer inaperçu, et c'est pourquoi la question de son balisage continue de se poser. Défi lancé aux artistes, quelle minuscule image partielle pourrait être sûrement évocatrice de l'ironie ? Un demi-sourire entendu ? Dans la suite de Scott Fahlman, c'est ce que le smiley ;-) arrive à exprimer.
La révolution numérique en cours a débordé le "point d'ironie" d'Alcanter de Brahm, avec maintenant une collection de smileys, d'émoticons et d'emojis pour exprimer toute une palette de sentiments largement étendue.
Ce passé informatique presque révolu est redevenu très en vue récemment : le MoMA de New York a acquis et exposé la collection complète des premiers emoji crées en 1999, le nombre d'emoticons et emojis, remplaçant ou non des smileys, a repris et leur utilisation ne cesse d'augmenter dans les messages. De nombreux sites recensent les créations, leur utilité à remplacer des mots ou des expressions, ou se consacrent à cette forme d'art désormais reconnue.
¤ Bibliographie :
- Langue française, n°45, 1980 « La ponctuation ». (ed. Larousse)
Nina Catach. (éditeur intellectuel du numéro de cette revue) « Présentation » . In: Langue française, n°45, 1980. « La ponctuation » pp. 3-7.
(Cette présentation est une synthèse très remarquable).
Claude Tournier, « Histoire des idées sur la ponctuation, des débuts de l'imprimerie à nos jours. sur l'histoire »
(Un article très complet et très documenté sur l'apparition de la ponctuation (dont il donne une définition), les vicissitudes de son établissement, ses variations et son évolution.) L'apparition des signes de ponctuation a lieu séparément et après celle des caractères alphabétiques, sous forme de différents points chez les Grecs et les Latins, et de façon plus proche de l'usage actuel, à partir du XVIè siècle avec étienne Dolet en France.
Ces articles de référence n'étaient pas encore accessibles par internet au moment de la construction de cette page, qui
peut compléter (après les fonctions déclamatoire, sémantique, et syntaxique) un aspect pas abordé dans ce n°45 sur la ponctuation, avec une hypotèse sur l'origine pictographique de la forme même des idéogrammes qui sont retenus comme signes de ponctuation, permettant de comprendre comment certains sont retenus (ou pas) durablement dans la (ou même les) langue(s), ceci supposant une économie de moyens réunissant la densité, la brièveté, la simplcité et la netteté de l'association évoquée par le glyphe de ponctuation.
- Ponctuer l'œuvre médiévale : des signes au sens, Droz, 2016
Gilbert Dahan, « La ponctuation de la Bible au XIIème et XIIIème siècle »
"La ponctuation est pratiquement une partition permettant une interprétation intelligente faisant sens. Les liens que revèlent la ponctuation entre le texte massorétique (le texte en hébreu de la Bible, donc avec tous les éléments qui en facilitent la lecture) et la Bible latine : la convergence constatée entre le lectionnaire dominicain et la bible synagogale me paraît digne d'intérêt pour montrer la communauté d'origine et la similitude des réflexes."
Le besoin de ponctuation apparaît très tôt, et elle représente la première des exegèses. L’appui sur la cantillation et les ponctuations archaïques irrègulièrement caractérisées pour éviter les équivoques de sens n’avait pas encore trouvé de symbolisation lisible dépourvue d’ambiguïté graphique, et qui ait une expression pictographique évocatrice et univoque.
La ponctuation émerge dans une histoire déjà longue, questionnement plus proche et sensible avec la saveur de cette citation datée de 1568, de Jean Bosquet, enseignant -grammairien à Mons :
“ - Un interrogant signifie hausser et fléchir la voix d'un ton qui convient aux propos.
- Un admiratif traduit différents sentiments, avec amplification ou flexion de la voix, selon l'affection de l'oraison : c'est-à-dire de voix âpre, ëguë, précipitée, interrompue, lamentable, ou plaisante, et joyeuse.”
Voilà le premier réalisé, récupéré au fond de la mémoire des archives du net (merci waybackmachine.org !)
( `;-{î>`°°°<
(https://web.archive.org/web/20020608034036/http://ohana.marc.free.fr/leloupetmarcohanauna.htm)
(FILE ARCHIVED ON 3:40:36 juin 8, 2002 AND RETRIEVED FROM THE INTERNET ARCHIVE ON 16:17:05 juin 9, 2014)
Pas très satisfaisant, un peu évocateur, certains prétendent qu'il faut des connaissances d'analyste pour y retrouver une ressemblance.
Les images sont déjà des interprétations, et leur silence est aussi interprêté. La question du silence est au fondement de la psychanalyse, et au début de mon analyse et de celle de mon premier analyste, la constuction d'une citation pastichée de Lacan décrivant les espaces de non-dit entre les paroles des rêves ou des lapsus, révélés par les scansions de la parole comme des lieux du refoulé difficiles d'accès, restait la trace d'une attention précoce à cette question.
Sur le métier, remettez votre ouvrage, Travaillez, prenez de la peine, c'est le fonds qui manque le moins... en suivant Jean de La Fontaine... Développer une imagination et une vue orthogonale,
penser à coté n'est pas penser de travers, si on en suit le cheminement.
Oui, mais faire les choses de travers, je sais: il y en avait eu une autre version plus ressemblante !
Horreur, malheur, dans la cuisine de la quinzième version modifiée, elle a été effacée par mégarde, plus de copie valide de celle-là!
Sa reconstitution a finalement été possible plus tard (en utilisant les anciens caractères ascii 7 bits) :
( `;-i>`>-~~<
Mais il en restait de savoir qu'une meilleure issue existait. Et l'améliorations de détails s'est faite au cours des années. Ah, pour mémoire aussi, c'était en Sérif ou Times new Roman, (l'effet de ressemblance peut disparaître très vite, à voir en Courrier new et...en Chiller !)
Ci-contre, la version avec l'euro, arrivé entretemps :
Ci-dessous, les version avec la livre qui a précédé celle avec l'euro :
| ( `;-£›‹>⋅⋅º·\ |
| ( `;-€›‹>⋅⋅º·\ |
D'autres essais de smileys approchés de Schmutzer ou d'Halberstadt, c'est affaire d'illusion visuelle, d'interprétation.
En fait la police importe, et la taille aussi, serif est plus expressif,
(L'intérêt du dernier : l'asymétrie due au "f" déforme mais met en perspective d'être placé au dessus sur sa gauche, et ce "f" initialise l'association à son nom.)
Très petites variations d'expression, mais rassemblées, elles se sont animées en gif, plus approchant de la photo de 1922 :
[ ( `⁏-t ›‹>⋅º·~\]
[ ( `;-í ›‹>⋅º·~\]
[ ( `;-t ›‹>⋅º·~\]
[ ( `;-f ›‹>⋅º·~\]
un peu plus proche ci-dessus de la photo par Schmutzer de 1926
et ci-dessous, de celle par Halberstadt de 1922.
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